AVENT. 2- le gendarme

 

 

   Martine a depuis toujours été très attirée par les hommes en uniforme, pompiers, militaires, faisait déjà parti de son tableau de chasse, mais ce dont elle rêvait depuis longtemps, c’était d’un flic.

A de nombreuses fois déjà, des occasions s’était présentaient, mais jamais réaliser, à cause d’hommes qui n’assumaient pas. Jusqu’à ce que je dépose une annonce sur internet afin de trouver de nouveaux scénarios pour nos petits Jeux : Couple 37 ans recherche bon plan exhib, scénarios coquins,……

 Comme d’habitude, je reçu de très nombreuses réponses, sans rapport, des mecs qui se présentaient, d’autre qui nous donnait rendez-vous dans leur chambre d’hôtel, rien qui ne correspondait à nos attentes et nos envies, Sauf une :

   ‘Bonjour, je suis un homme de 32 ans, gendarme, je vous propose un scénario coquin autour de mon uniforme, contactez-moi si intéressé’.

 Je m’empressai de lui retourner un message, dans lequel j’indiquai une adresse MSN, que j’étais seul à connaitre, ce qui me permettait d’organiser de petit scénario pour ma femme à son insu.

 Le soir même, je m’enfermai dans mon bureau, afin de pouvoir tchater en toute tranquillité.

En me connectant, je reçu immédiatement une invitation à ajouter un nouveau contact, ce que je fis aussitôt.

Bonjour, c’est Fred, le gendarme

Enchanté, Gérard…………et martine

A la photo de son avatar, je vu de suite qu’il plairai à martine.

Enchanté, j’ai répondu à votre annonce sur v………..

Oui, je t’explique en quelques mots ma recherche, nous sommes un couple de 37 ans, libertin et échangiste. Nous aimons, nous organiser des petits scénarios ‘surprise’ à l’insu de l’autre pour mettre un peu de piquant dans nos ébats. Du style, petit exhib, soit disant improvisé (enfin pour madame), mais ou l’un des complices entre en scène

C’est tout à fait, le genre de scénario que j’aime aussi, voici mon tel 06……… ce sera plus simple pour communiquer.

 

  Enfin quelqu’un qui semblait assumer ces désirs. Je composais son numéro de tel, il s’en suivi une longue discution durant laquelle après avoir fait connaissance et lui avoir décris les envies de martine, nous avons élaboré notre petit scénario, prévu  pour deux jours plus tard.

 

   **************

 Le jour J arriva, j’avais prétexté d’aller faire une petite sortie shopping/exhibe dans une grande enseigne suédoise de meuble, pour nous rendre sur la région Bordelaise. Comme à son habitude lorsque nous faisions ce genre d’escapade, martine n’avait  vêtue qu’une mini-jupe et d’un haut au décolleté provocant, sans aucun sous-vêtement.

 Nous avons ainsi erré durant toute la journée, martine alternant provocation et exhibition envers les hommes qui se retournaient sur elle. Elle s’amusa aussi à allumer le serveur qui ne loupa rien de sa petite chatte épilée, durant tout le diner. L’excitation avait ainsi monté en nous, en sortant du restaurant, je lui indiqué mon envie d’aller découvrir l’un des coins exhibitionnistes de bordeaux.

   Elle acquiesça avec un grand sourire qui en disait long.

  Après quelques minutes de routes, nous arrivâmes dans une zone commerciale qui semblait avoir été désertée (en fait, le lieu de rendez-vous avec mon complice, le gendarme). Je garai la voiture dans une semi pénombre  sur le coté de l’un des bâtiments, qui entièrement vitré nous permettais d’observer la route qui se trouvait de l’autre coté.

  Toujours assis sur nos sièges respectifs, Je commençais à caresser martine, lui titillant son petit clito, déjà bien humidifié par nos petits jeux de la journée.  Excitée mais pas vraiment rassurée, elle commença à caresser mon entre jambe, puis fini par sortir ma queue, pour venir me sucer, comme elle savait si bien le faire.

   Au bout de quelques instants, une lueur de phares vint perturber notre intimité, martine quelques peu inquiète se releva. Je la priai de  continuer, en lui indiquant que c’était très certainement un voyeur, et qu’elle pourrait ainsi peut être s’amuser avec lui.

   Tandis que la voiture avançait encore un peu plus vers nous, elle se pencha à nouveau sur mon sexe, j’en profitai alors pour lui découvrir un peu plus ses fesses, et sa poitrine.  A demi rassurée, elle ne cessait de tenter de jeter un coup d’œil sur le véhicule qui maintenant se trouvait garé à quelques mètres derrière nous.

 Dans la penombre, nous aperçûmes une silhouette qui se dirigeai vers nous, soudain une lampe torche nous éclaira violement, martine paniqué tenta de réajusté sa tenue, sans vraiment y arrivé.

Gendarmerie Nationale, puis-je voir vos papiers, l’homme en uniforme maintenant à la hauteur de ma vitre, s’adressait  à moi, non sans balader le rayon lumineux de sa ‘mégalithe’, dans l’habitacle de la voiture, dévoilant ainsi la presque nudité de martine.

Je me retournai vers ma femme, qui me jeter des regards de stupeur, pour lui demander de me donner la carte grise, ainsi que mon permis. Tout en cherchant dans le fond de son sac, elle tentait toujours aussi  maladroitement de redescendre sa jupe sur son intimité. Les documents n e se trouvait pas dans son sac, elle me demanda en balbutiant de regarder dans le vide-poche qui se trouvait sous mon siège.  

  Je sentais son malaise, mais au fond de me réjouissait de mon petit stratagème, et rajouté un peu plus en feignant de ne pas trouver. Persuadée, que nos papiers se trouvaient bien à l’endroit qu’elle m’avait indiqué, je lui intimai de les chercher par elle-même, l’obligeant à se pencher une nouvelle fois vers mon entre jambe encore dénudé, pour accéder  a ce fameux tiroir.

 Elle me tendit les papiers  en tremblotant, que je remis ensuite au gendarme. Après une vérification en règle de mon identité, Fred m’ordonna d’un ton assez autoritaire d’ouvrir mon coffre pour une vérification. Avant de descendre, je jetai un regard vers martine, qui m’interrogea d’un regard effrayé, et qui de ses yeux me rappela ma tenue.

 Je me dirigeai vers le coffre, afin de faire constater à l’agent que celui-ci était vide. Il m’intima ensuite de poser mes mais sur le coffre afin de me faire une palpation , Ce qui était un prétexte à échanger quelques mots

Ça va, comme çà ?

Oui, très bien continue comme cela, fais la descendre de la voiture pour une palpation

Je la sens pas très rassurée, me dit-il

T’inquiète pas, je la connais, elle est surement très effrayée, mais aussi très excitée.

Je le suivais en direction de la portière passager, ou il demanda, toujours d’un ton sec à martine de descendre du véhicule. Elle s’exécuta (entre temps, elle s’était réajusté quelque peu), mais elle ne pouvait qu’entrouvrir les cuisses, pour quittai son siège, et ce n’était pas sa mini-jupe qui pouvait cacher son intimité.

 Vous n’avez rien de cacher sur vous, lui demanda Fred.

 Je la voyais très paniqué, tremblante et décidai de stopper le jeu ici. Je m’approchai d’elle et en soulevant entièrement sa jupe, m’adresse au gendarme :

Non, voyez par vous-même, elle n’a rien du tout de caché !

  Martine compris aussitôt la farce, et poussa un ouf de soulagement !

Mais c’est encore toute tremblante que chacun de nous la prit sur le capot de la voiture …….




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